L’Horizon des événements

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> Diptyque Se souvenir du futur <
Frédéric Sonntag poursuit son exploration des mythologies de la culture pop et des mutations du capitalisme. Deux ambitieuses pièces qui font dialoguer la génération des Trente Glorieuses et celle de leurs enfants et questionnent le virage idéologique, économique et écologique de la fin des années 70. Sous la forme d’enquêtes, les résonances sociétales et les trajectoires générationnelles se répondent dans d’habiles enchevêtrements spatio-temporels. Deux spectacles puissants et magnifiquement incarnés où la musique live et la vidéo donnent corps à un récit haletant et maîtrisé digne des meilleurs thrillers. 

2^e volet : L’Horizon des événements

En 2006, Nathan Jeffrey, trente ans, devient père pour la première fois. En pleine crise existentielle, il essaie de renouer des liens avec son frère et sa soeur dont il s’est éloigné à la mort de leurs parents, deux économistes réputés.

Désireux de comprendre pourquoi ceux-ci ont démissionné au milieu des années 70 d’un projet majeur consacré aux dérives et aux dangers d’une croissance économique exponentielle, Nathan Jeffrey entreprend d’en retracer méthodiquement l’historique. Il enquête alors sur le déroulé de l’année 1975 qui fut déterminante dans la vie de ses parents, et plonge dans les méandres politiques et familiaux de cette période. Pourquoi cette étude intitulée « L’horizon des événements » était-elle d’une importance majeure ? Comment et par qui a-t-elle été sabordée ? Qu’est-ce que sa naissance et celle de son fils ont à voir avec tout ça ? Et que viennent faire dans toute cette histoire deux astrophysiciens chasseurs de trous noirs, auteurs au milieu des années 70 d’un ouvrage consacré à leur sujet d’étude et également intitulé : « L’horizon des événements » ?

ON EN PARLE…

sceneweb.fr – 7 janvier 2O23
Frédéric Sonntag, expert en mondes parallèles

Journal La Terrasse – 24 septembre 2022
Frédéric Sonntag crée le second volet du diptyque commencé avec D’autres mondes. En s’inspirant de l’histoire du Rapport Meadows, il interroge le délire exponentiel et destructeur du capitalisme.